Stratégies de paris sur les jeux

Certains joueurs parient exclusivement sur les favoris, sans étudier les alignements et autres facteurs. Ils sont guidés par des pensées comme « Barcelone » est une super équipe, comment peuvent-ils perdre ? Et le fait que, par exemple, il s’agisse d’un match de Coupe d’Espagne, dans lequel les Catalans ont constitué une équipe réserve, n’est pas pris en compte.

Les autres parieurs de Contactez Betwinner sont guidés par les cotations des bookmakers. Si les équipes offrent une cote de 1,25 pour gagner, la personne pense que le résultat avec
une faible valeur a peu de chances de perdre.
Il y a une pensée obsessionnelle mais erronée dans ma tête, telle que « plus le coefficient est bas, plus la probabilité de réussite est élevée ». En fait, c’est vrai, mais le profit de telles transactions est minime, et lorsqu’un pari avec un maigre coefficient ne passe pas, il faut 6 à 8 transactions pour récupérer et gagner au moins quelque chose.
Pour un profit stable du bookmaker, vous avez besoin d’un algorithme de pari. La bonne séquence d’actions vous permet de structurer le jeu, mais le problème est que la plupart des systèmes ne sont pas rentables. Jetons un coup d’œil aux plus populaires. Il n’est pas nécessaire de les suivre, mais connaître les techniques ne fait pas de mal.

Dogon

L’essence de la stratégie bien connue est qu’après un pari infructueux, la taille du suivant augmente afin de reconquérir.
Par exemple, si vous pariez 100 $ sur une cote de 2,0, vous perdez. Maintenant, nous parions 200 $ sur la même cote et gagnons 400 $. Moins 200 $ (100 $ perdus lors de la première transaction et 100 $ supplémentaires — le montant du deuxième pari). Revenu net est 200 $.
L’inconvénient de la technique est que tôt ou tard l’argent de la banque de jeu s’épuisera et qu’il n’y aura rien pour bloquer un autre échec. Et les pertes de paris se produisent régulièrement, donc tôt ou tard, vous perdrez certainement toute la banque.

Contre le favori

L’essence de la technique est de parier sur la perte du favori, en utilisant le rattrapage. Le favori fait tôt ou tard des erreurs, et dans le football il y a tout le temps des sensations, mais malgré cela, le système est inefficace.
Les équipes sont capables de montrer de longues séquences sans défaite. Vous n’avez tout simplement pas assez d’argent pour faire un autre pari. Les Grands du tout pendant la saison peuvent ne jamais trébucher. La stratégie sera rentable si vous analysez les matchs et étayez votre choix par des faits qui parlent en faveur de l’outsider.

Pari sur la valeur

Ce sont des paris sur des résultats sous-estimés, des paris sur des cotations trop chères. Le joueur détermine quel événement est mal évalué par le bookmaker. Pour comprendre le système, considérons un exemple primitif.
Disons que l’équipe perd à chaque troisième match à l’extérieur. Au total, le coefficient de sa victoire est de 3,3. Si vous pariez sur 3 000 $ pour chaque match, le paiement sera de 3 300 $ (bénéfice de 300 $). Cependant, il s’agit d’une théorie, car il faut prendre en compte non pas des statistiques superficielles, mais d’autres paramètres, du moins la forme des adversaires, la composition des équipes, le niveau de motivation, etc.

Analyse des événements

C’est la méthode classique. Un événement sportif est pris, les statistiques, la forme des adversaires, la position au classement, la motivation, l’attitude, les conditions météorologiques, l’arbitre du match et bien plus encore sont pris en compte. Les derniers jeux sont étudiés, des modèles sont identifiés. Sur la base de tout, une prévision est faite.
Un parieur qui réussit sait distinguer plusieurs événements par jour, étudier les cotes et décider si un match se prête au pari. D’autres parieurs vont dans l’autre sens, ce qui est également efficace. Ils analysent le jeu et tentent de reproduire un scénario possible. Sur la base des résultats de l’analyse, un ou plusieurs paris sont effectués ou l’événement est ignoré.

Gestion de la bankroll

Au cœur des paris sportifs se trouve le système financier, dont la tâche est d’abord d’économiser de l’argent et ensuite seulement de gagner de l’argent.

Dans un premier temps, formez une bankroll (banque de jeux). Afin de ne pas tout perdre d’un coup, n’essayez pas de miser all-in (tout l’argent pour un résultat ou un match). C’est
pourquoi il est catégoriquement déconseillé aux débutants de jouer avec les fonds des autres (empruntés ou crédités) ou ceux dont la perte aggravera considérablement votre bien-être.
Quel que soit le montant du pari, ne pariez pas plus de 5 à 7 %, mais limitez-vous d’abord à 3 %. Il existe de nombreux systèmes financiers, mais, comme pour le modèle de jeu, vous
devez développer le vôtre. Cela vient avec l’expérience.
Cependant, au début, profitez de l’appartement commun — il s’agit d’un pourcentage fixe de la banque pour chaque transaction. Par exemple, 5 % du montant initial ou actuel. Assurez-vous de limiter le montant d’argent que vous pariez ou perdez par jour et par semaine. Par exemple, ne misez pas plus de 1000 $ par jour et/ou ne perdez pas plus de 300 $ par jour.