32ème Dinard Film Festival : jurys, hommages, programme

L'affiche

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Le 32ème Dinard Film Festival se déroulera du 29 septembre au 3 octobre 2021.

Le Jury

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Les films en compétition

Lequel de ces 6 films remportera le Hitchcock d’Or ? Rendez-vous le 3 octobre pour le découvrir…

 

Creation stories

Creation stories de Nick Moran : 1h49 Avec Ewen Bremner, Jason Isaacs, Steven Berkoff, Suki Waterhouse, Thomas Turgoose, Jason Flemyng, Michael Socha, Mel Raido

Des débuts modestes aux soirées des Downing Street, de l’esquive des huissiers à la sortie d’albums multi-récompensés, Creation Records a tout vécu. Dépression nerveuse, faillite, bagarres et amitiés… sans oublier la musique. Accompagnés de certains des plus grands titres jamais composés, nous suivons son illustre fondateur, Alan McGee, dans un tourbillon de musique et de désordre, induit par la drogue, alors que son rêve de rock’n’roll donne naissance à Oasis, Primal Scream et d’autres groupes qui ont marqué toute une génération.


Limbo

Limbo  de Ben Sharrock: 1h43 Avec Kwabena Ansah, Vikash Bhai, Amir El-Masry

Omar est un jeune musicien prometteur. Séparé de sa famille syrienne, il est coincé sur une île écossaise isolée en attendant la réponse à sa demande d’asile. Cette satire interculturelle drôle et poignante mêle subtilement l’espoir et les difficultés rencontrées par les réfugiés.


Ride the wave

Ride the wave de Martyn Robertson : 1h24  Avec Louise Storrie, Martyn Robertson

Ben Larg, champion de surf écossais de 14 ans, n’a pas peur des défis, lui qui participe à des compétitions depuis l’âge de 11 ans. Quel plus grand défi pour un jeune surfeur que rider l’une des plus grandes et dangereuses vagues du monde, celle de Mullaghmore en Irlande ? S’il réussit, il rejoint l’élite. S’il échoue, les conséquences peuvent être terrifiantes. Le danger, la chance, le dilemme que connaissent ses parents, se heurtent et propulsent Ben et sa famille vers un destin inconnu.


Sweetheart

Sweetheart  de Marley Morrison : 1h43 Avec William Andrews, Nell Barlow, Tabitha Byron, Steffan Cennydd, Sophia Di Martino, Jo Hartley, Ella Rae Smith

AJ, adolescente un peu marginale et soucieuse de l’environnement, est traînée dans un centre de vacances situé sur la côte par sa famille affreusement « normale », où elle tombe sous le charme d’Isla, maître-nageur qui sent le chlore et qui aime le soleil.


The Power

The power de Corinna Faith : 1h33 Avec Charlie Carrick, Diveen Henry, Shakira Rhaman, Emma Rigby, Rose Williams

Londres, 1974. Alors que le Royaume-Uni se prépare à d’importantes coupures d’électricité, Val, une infirmière débutante, arrive pour son premier jour au sein de l’équipe de nuit d’un hôpital délabré. La majorité des patients et du personnel ayant été évacués vers un autre hôpital, elle se retrouve presque seule dans ce bâtiment lugubre. Mais derrière ces murs se cache un lourd secret qui va contraindre Val à affronter ses peurs les plus profondes, et se confronter à une force maléfique.

 

Wildfire

Wildfire de Cathy Brady : 1h25 Nika McGuigan, Nora-Jane Noone

Élevées dans une petite ville à la frontière irlandaise, les sœurs Lauren et Kelly ont vu leurs vies bouleversées par la mort mystérieuse de leur mère. Lauren est confrontée au passé sombre et traumatisant de sa famille quand sa sœur disparait soudainement pour réapparaitre une année plus tard. Kelly veut alors faire la lumière sur leur histoire, ce que les habitants de la petite ville n’acceptent pas. Les rumeurs et la malveillance se répandent comme une traînée de poudre, menaçant de les pousser au bord du gouffre.

Shortcuts

Allowed, de Zillah Bowes : 3’45
Les mauvaises herbes ne sont pas seulement des mauvaises herbes. Lors du confinement de la première vague de Covid-19, les plantes et les fleurs ont pu pousser à l’état sauvage dans des espaces laissés temporairement à l’abandon, ce qui a permis aux pollinisateurs et animaux sauvages de prospérer.

Bound de Joe Carter : 13′26
L’ultime « walk of shame » : à Leith, banlieue d’Édimbourg, Kelsey fait boire Martin, et tous deux se réveillent pas seulement avec une gueule de bois… S’en suit une matinée durant laquelle ils essayent de revenir à une vie normale.

Jambo Cinema de Dawinder Bansal : 9′
Dawinder Bansal a grandi dans le magasin de matériel électrique de ses parents sikhs, qui louaient également des VHS de Bollywood. Avec courage et amour, elle évoque son enfance, ses racines kenyanes et explore l’histoire sociale du divertissement sud-asiatique dans la Grande-Bretagne des années 80.

Keith water de Izzy Gibbs : 5′18
En stop-motion, ce court-métrage animé illustre un morceau de musique inspiré par la rivière qui traverse la vallée où l’auteur a grandi.

One for the road de Eileen Tracey : 15′54
Ceri est l’une des derniers habitants d’un village déserté suite à l’effondrement des digues côtières sous l’effet de la montée du niveau de la mer. Elle y est restée aussi longtemps que possible mais la veille de l’évacuation est arrivée.

Opal de Kirsty McLean : 12’47
Une adolescente, passionnée de boxe, cherche à combler la place laissée par son père, violent et pourtant idolâtré par sa famille, après son décès soudain.

Rough de Declan Lawn et Adam Patterson : 13’
À Belfast, un jeune homme fait face aux conséquences des transgressions de son chien adoré.

Shagbands de Luna Carmoon : 17’53
En 2006, lors d’une vague de chaleur estivale, des adolescentes du sud de Londres sont sujettes à d’étranges pensées sexuelles et découvrent la violence.

Stop nineteen de Danielle Swindells : 8’13
À Belfast, l’industrie du « tourisme noir » est en plein essor. Plus de 3600 personnes sont mortes lors des « Troubles », période de violence opposant les unionistes et les nationalistes. Ces touristes visitent les lieux dans lesquels les conflits se sont déroulés, donnant l’impression aux habitants d’être une attraction.

The shift de Laura Carreira : 8’44
Un matin, Anna, travailleur temporaire, fait ses courses, arpente le supermarché et cherche les produits de première nécessité parmi les promotions. Alors qu’elle s’apprête à passer en caisse, son agence l’appelle : elle a perdu son quart de travail.

Verisimilitude de David Proud : 13’30
Une actrice au chômage en fauteuil roulant est frustrée de voir que tous les rôles de personnages handicapés sont attribués à des acteurs valides. Elle est engagée par d’une star de cinéma en devenir afin de lui montrer comment « être handicapé » dans le rôle qu‘il vient d’obtenir. Un rôle qui pourrait bien lui valoir un BAFTA…

Les thématiques

Le programme sera divisé en 6 sections thématiques.

To Be or not To Be

Land & sea

It’s teen spirit

Quelle horreur !

Irish eyes in Dinard

 

Dinard rocks the casbah

Le festival s’est aussi…

– Une série télévisée
– Un film animé
– Un anniversaire spécial
– L’œuvre complète de l’une des cinéastes émergeant au Royaume-Uni

Pour plus d’informations, rendez-vous sur www.festivaldufilm-dinard.com.

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